Que pense la Science concernant la survivance d'une partie de nous après la mort? Y a t-il d'autres mondes situés à d'autres niveaux de consciences, d'autres niveaux de fréquences? La mort ne serait-elle pas le passage d'un monde à l'autre? Ne sommes nous pas autre chose que de simple humain? Quelque chose de plus grand?
Les scientifiques ont enfin décidés d'orienter certains de leurs travaux vers la recherche de l'entité spirituelle qui est en chacun de nous.
La théorie des tachyons
R. Dutheil, biophysicien (Université Poitiers ) et sa fille, ont proposé une théorie originale. Il existerait dans l’univers des particules superlumineuses, de vitesse supérieure à celle de la lumière, les tachyons.
Les phénomènes décrits dans les N.D.E. peuvent concorder avec cette théorie :notre conscience serait formée d’un champ de tachyons, au-delà du " mur de la lumière " (comme il y a un " mur du son " en aéronautique), elle aurait donc une réalité différente de celle que nous connaissons.... Au moment de la mort, l’impression de traverser le tunnel avant d’atteindre la lumière correspondrait au passage de ce mur .
Entrons dans le vif du sujet...
Tachyon : du grec tachus signifiant rapide
C'est à G. Feinberg, physicien des années 60, que l'on doit ce terme de tachyon : en effet il utilisa la théorie de la relativité pour démontrer l'existence de particules se déplaçant plus vite que la vitesse de la lumière et présentes de l'autre côté du mur de cette même vitesse. Ces particules auraient une énergie et un mouvement réel. Le fait qu'elles n'aient pas encore été démontrées de nos jours repose sur la constatation que nous ne savons ni comment, ni où, aller les observer.
Pour comprendre la théorie des tachyons et de la dimension superlumineuse, imaginons la conscience (ou l'esprit) comme un champ infini de particules porteuses de toutes les informations que reçoit notre cerveau. Ce champ se situerait entre deux univers : celui que nous connaissons, composé de particules dont la vitesse est inférieure à celle de la lumière, et celui dans lequel toutes les particules vont toujours plus vite que la lumière. Evidemment, nous ne pouvons pas avoir conscience de cet univers, car notre cerveau agit alors comme un filtre qui nous permet de vivre notre vie au jour le jour, seconde après seconde.
« Dans cet univers, la causalité n'existe plus puisque tous les événements sont accessibles en même temps. Evidemment, cette représentation dépasse toutes les possibilités conceptuelles de notre cerveau ! Donc les êtres humains ont un moi fondamental, superlumineux, qui se projette sous une forme sous-lumineuse (notre monde matériel) dont le cerveau est le filtre qui permet de figer les événements. »
Compliqué ? non. C'est la « caverne » de Platon, les mythes indous, tibétains, les hypothèses de Bohm, Capra, Pribram réunis. La philosophie de base est la même : la conscience est la réalité fondamentale, notre monde n'est qu'une image. Sauf que la théorie de Dutheil développe, affine et précise mathématiquement ce concept. Autre intérêt : l'univers superlumineux des tachyons explique des phénomènes aussi étranges que la synchronicité, la voyance, la médiumnité, la réincarnation, les régressions dans les vies antérieures et la plupart des paradoxes de la mécanique quantique !
Que sera alors la science de demain ? « Elle sera intuitive, explique Régis Dutheil. Jusqu'à ce jour, la science était exclusivement expérimentale, méthode qui consiste essentiellement à analyser.
La relativité superlumineuse de Dutheil
R. Dutheil, biophysicien (Université Poitiers - France - 1990) et sa fille, ont proposé une théorie originale. Il existerait dans l’univers des particules superlumineuses, de vitesse supérieure à celle de la lumière, les tachyons.
La thèse fondamentale développée par Régis Dutheil a pour objet la structure de notre conscience et celle de l'univers. Régis et Brigitte Dutheil notent que le dogme de la vitesse de la lumière est aujourd'hui re physiciens. Ils citent l'américain Feinberg qui, tout en préservant également la mécanique relativiste, postule l'existence, de l'autre côté du mur de la lumière, de champs de particules qui vont plus vite que celle-ci, jamais en deçà.
La lumière se propage à la vitesse extraordinaire de 300.000 Km par seconde: c'était jusqu'à maintenant la plus grande vitesse connue qu'une particule puisse atteindre et cette limite semblait infranchissable. Mais, dans les années 1960, deux chercheurs américains, Feinberg et Sudarshan, et un russe, Terlerskij, sans s'être concertés, émettent l'hypothèse qu'il pourrait exister des particules se déplaçant plus vite que la lumière et démontrent la validité de cette hypothèse. Ces particules hypothétiques (à cette date) sont baptisées "tachyons" . Depuis, ces tachyons ont été mis en évidence par des observations expérimentales en 1985 en Belgique, puis en 1993 en Allemagne. Les auteurs notent que les particules mentionnées n'ont pas encore pu être mises en évidence expérimentalement. Mais les expériences se poursuivent, et de récentes découvertes sur la propagation de la lumière dans les fibres optiques semblent confirmer l'existence de photons évanescents allant plus vite que la lumière.
On peut en déduire l'existence de trois " types " de mondes de la matière :
Le monde " souslumineux " qui est le monde ordinaire, que nous connaissons bien, celui de la physique classique newtonienne, constitué de bradyons, des particules dont la vitesse est inférieure à celle de la lumière.
Le monde " lumineux " de la matière approchant ou atteignant la vitesse de la lumière. C’est le monde de la relativité d'Einstein, les luxons, particules dotées d'une vitesse égale à celle de la lumière
Le monde " superlumineux " de la matière dépassant la vitesse de la lumière, l'univers superlumineux des tachyons.
La nature de la conscience
L'existence de notre conscience n'est pas douteuse. Par contre sa nature n'a jamais été clairement définie. Qu’est-ce que la conscience ? Pour les matérialistes, c'est une production du cerveau et elle disparaît à la mort.
Pour Régis Dutheil : la conscience et le cerveau aurait deux modes de fonctionnement : l'un normal, local et spatio-temporel, l'autre plus rare, non local,
1. la supra-conscience ; elle est composée de particules superlumineuses et qui se situe en dehors de notre corps, le monde " superlumineux .
2. la conscience locale ; elle est encore appelée " moi sous-lumineux " et se compose de photons (elle appartient donc au monde " lumineux "). Elle se partage, avec le système nerveux, l'exploitation des informations qui lui parviennent de la supra-conscience. C'est elle qui pense, décide et résout les problèmes de la vie quotidienne.
Quand la supra-conscience communique avec la conscience locale, le transit serait réglementé par le cortex cérébral. Tout ce qui est nécessaire à notre vie quotidienne est filtré et transmis à la conscience locale. Le cerveau transforme les informations abstraites en hologrammes c'est-à-dire en images tridimensionnelles qui représentent pour nous la réalité.
Par contre, il n'existerait pas de communication dans le sens conscience locale vers la supra-conscience durant la vie, sauf dans quelques cas : le rêve, la méditation et l'usage de certaines drogues... La véritable communication se ferait au moment de la mort physique. Les auteurs enseignent l'immortalité de la conscience locale qui, lors de la mort, se détache du corps physique et cherche à s'unir à son homologue superlumineuse.
Le"mur de la lumière"
A l'image du mur du son en aéronautique, il existerait un "mur de la lumière", séparant l'univers sous-lumineux (le monde tangible) et l'univers superlumineux. Dans l'univers superlumineux, il serait possible d'observer un événement avant sa cause. De même, selon Régis Dutheil, "il y aurait pour un être vivant dans l'univers superlumineux une instantanéité complète de tous les événements constituant sa vie, les notions du passé/présent/futur disparaîtraient".
Ainsi, le Champ d'Energie Tachyonique (C.E.T.) serait un espace identifié comme contenant des particules se déplaçant à une telle vitesse, que la notion de temps y serait alors nulle pour toutes personnes s'y plaçant volontairement. Les travaux de Régis DUTHEIL, physicien/biophysicien français, nous expliquent comment la conscience même de l'homme semble issue de ce champ.
À la mort , nous traverserions le mur de la lumière pour réintégrer l'univers de l'espace/temps superlumineux des tachyons. Sur ce qui se passe après la mort, les auteurs s'expriment prudemment car ils considèrent que cela est inaccessible ou inconcevable pour notre monde sous-lumineux.
Les phénomènes décrits dans les N.D.E. peuvent concorder avec cette théorie :notre conscience serait formée d’un champ de tachyons, au-delà du " mur de la lumière " (comme il y a un " mur du son " en aéronautique), elle aurait donc une réalité différente de celle que nous connaissons.... Au moment de la mort, l’impression de traverser le tunnel avant d’atteindre la lumière correspondrait au passage de ce mur.
La sensation de paix et de bien-être proviendrait de ce que, dans un Univers superlumineux, contrairement à notre Univers, l’entropie décroît, donc que la néguentropie croît, et que, de ce fait, la conscience se trouve donc accéder à un ordre supérieur, en abandonnant les influx négatifs liés au désordre.
La mort serait-elle cette accession ?